Un air de ...

Là où chantent les écrevisses me fait un peu penser au roman de Jean Hegland qui s'appelait Dans la forêt. Les deux livres parlent de l'abandon et des difficultés à survivre. Ils montrent la détermination de jeunes filles devant le gouffre de la misère. Mais dans le livre Dans la forêt, on constate que c'est la civilisation qui sombre, et non un seul marais. Il est bien plus noir et catastrophiste que Là où chantent les écrevisses. Delia Owens décrit la nature comme étant cruelle, et l'homme doit être cruel à son tour pour s'adapter à son environnement. Mais la civilisation prend le dessus et finalement, le progrès se fait et l'homme dompte la nature.